Azdine Ben Yacoub, promoteur d'événements sportifs et culturels en Tunisie, reçoit le 1er Trophée de la Paix

Promoteur d'événements sportifs et culturels en Tunisie, Azdine Ben Yacoub a reçu jeudi 25 mai 2017, le 1er Trophée de la Paix qui lui a été remis par l'artiste et conteuse tunisienne Elaine Kibaro, et une activiste du monde associatif Désirée Bellaiche, veuve du boxeur tunisien Simon Bellaiche.

D’autres noms figurent sur la liste des lauréats : Slaheddine Blidi (directeur général de Tunisair France), Michel Jonasz (chanteur-acteur), Fabienne Amiach (journaliste TV), Jean-Pierre Mocky (réalisateur), Évelyne Dress (actrice). Le 1er Trophée de la paix a été remis en présence de nombreuses personnalités du monde du sport, de la culture et de la télévision, dont Jean-Philippe Lustyk, journaliste sportif.

En pleine expansion

Dans un communiqué adressé à notre rédaction, Azdine Ben Yacoub se félicite que « la Tunisie (est) encore une fois à l'honneur ». Selon le lauréat du Trophée de la paix, « le tourisme sportif et le tourisme saharien sont en pleine expansion (...) » Et d'annoncer - pour preuve supplémentaire, s'il en est besoin - l'organisation de la treizième édition du Marathon des Oasis (19 au 26 novembre 2017), toujours sous le slogan « Courir pour la Tunisie qu'on aime ».

Pour le président de l'association Carthage, « le sport et la culture participent à la relance de la destination Tunisie. Depuis plusieurs années, nous mettons tout en œuvre pour y parvenir (...) Nos efforts et nos convictions sont une pierre de plus apportée au pont jeté entre les deux rives de la Méditerranée, pour l'entretenir (...) Au-delà de la dynamique touristique et sportive, il s'agit de contribuer à une dimension supplémentaire respectueuse de l'écologie et de l'environnement (...) Nous sommes en train de gagner notre pari. »

Une vitrine exceptionnelle

Chaque événement culturel et sportif qui se succède constitue une vitrine exceptionnelle pour l'image de la Tunisie. « La victoire en championnat du monde de (notre) boxeur Moez Fhima sur le Russe Aliklych Kanbolatov (8 avril 2017, à M’Saken/Sousse, NDLR), en est la preuve supplémentaire », poursuit Azdine Ben Yacoub. À tout le moins, elle est nécessaire.

Chaque initiative en ce sens doit être saluée. Encouragée et accompagnée. C'est notre conviction ! Et nous la marquons de notre «  empreinte... » C'est la raison pour laquelle, notre rédaction adresse à Azdine Ben Yacoub ses plus sincères félicitations, et est fière de rappeler aux grincheux et aux sceptiques qu'« on a tous en nous quelque chose de Tunisie ! ».

AUTEUR ET SOURCE: http://www.espacemanager.com/